Une journée tout en douceur.
Elle commence par une bonne “jasette” avec nos voisins de “camping-sauvage” . En fait, nous étions quelques camping-car sur le stationnement du parc pour y passer la nuit. Bref, une opportunité de parler de quelques expériences de voyages. Une belle rencontre... Avec des pros d’ornithologie...
Nous sommes sur la route du sud. Ici, un long ruban d’asphalte découpe la forêt.
Une certitude, les activités des uns ne ressemblent pas nécessairement aux activités des autres...
Un rappel, au passage, de l’importance de l’hydroélectricité... ici, sur la Sainte-Marguerite.
Cap sur Pointe-des-Monts. Une pointe de terre , isolée s’avance dans l’immensité du fleuve.
À peine quelques résidents, une petite église et son illustre phare.
Le phare et son musée sont fermés ...cause de Covid...il nous est tout de même possible de s’en approcher et de prendre toutes les photos que nous souhaitons.
La passerelle est fermée mais à marée basse, comme ce matin, il était facile d’avoir accès au site.
Pour celles et ceux qui suivent notre blog, les assidus, cette photo vous rappelle certainement quelque chose. Elle est semblable à celle que nous y avons mise il y a quelques jours. Pour cause, nous sommes de retour au parc nature de Pointe-aux-Outardes. POURQUOI ?
En fait, nous avions comme objectif de nous installer à Pointe-Lebel. Nous y sommes allés. Nous y avons circulé pour la découvrir. Nous nous sommes rendus au camping que nous avions ciblé. Mais voilà, nous n’aimons pas l’endroit... Trop gros, trop serrés les uns sur les autres, pas de vue sur le fleuve...pas...
Bref, il ne fut pas difficile de nous convaincre de faire un peu plus de route pour retrouver le beau et incroyable parc de la nature de Pointe-aux-Outardes. Pour les amateurs...il y a une piste cyclable qui relie les deux « Pointes ».
Chanceux, il reste une place pour nous... Les responsables sont eux-mêmes étonnés qu’il y ait autant de monde rendu à cette période de l’année. L’effet “Covid” et “Bonjour Québec” en sont certainement la cause.
Sans perdre une minute, vu l’heure avancée, je suis parti en randonnée sur les sentiers ainsi qu’en bord de mer.
QUE DU BONHEUR !!!
Près de deux heures de marche dans ce décor idyllique sans croiser une seule personne...
À marée basse, comme aujourd’hui, la plage devient immense et à perte de vue. Un vrai plaisir !!!
Que le bruit des vagues et un horizon sans fin pour me tenir compagnie.
« SEULS AU MONDE !!!
Un bonjour spécial aux responsables du parc. Merci pour votre gentillesse, votre implication pour faire de ce parc l’un des plus beaux du Québec.
Demain, nous retournons aux Grandes Bergeronnes pour y refaire l’observation des baleines... en fait, je devrais dire pour essayer de voir une baleine...
Que de zénitude tout ça!
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