14 mars
Après toutes ces années, le Koreshan Historic Site demeure
bien vivant. On y organise régulièrement des expositions, des activités, et des
concerts dans la salle communautaire. Le piano sur la scène est un Steinway
1885. Seuls 5 de ces pianos ont été fabriqués pour les 85 ans de Steinway. Ils
n’y ont mis que 85 notes plutôt que 88 pour célébrer l’évènement.
Dans chacun des principaux bâtiments, un
« volonter » du parc accueille les visiteurs pour les renseigner sur
l’histoire de cette secte.
Entre autres, sur la photo vous pouvez voir l’interprétation
que donnait Koresh à l’univers.
Le soleil était au centre d’une sphère. La terre tapissait
l’intérieur de cette coquille. « Flyé M le gourou»… Le plus
extraordinaire, c’est qu’il a réussi à vendre son concept à bien des gens et
par n’importe lesquels. Entre autres, à des personnes riches comme cet
industriel canadien qui a, à l’origine, payé les dettes et financé les débuts
de la secte. Il avait d’ailleurs, lors de ses visites, son appartement en haut
de la « Planetary House ».
On peut bien la distinguer sur la photo. À noter que ce nom fut donné pour symboliser, à l’époque, les sept planètes connues. Sept femmes y avaient leur appartement.
Elles occupaient toutes une
fonction importante… À noter qu’il avait aussi pu convertir l’héritière du
prestigieux Waldorf Astoria Hotel de New
York…
Le parc accueille aussi des gens vraiment sympa comme ces
deux hommes sur la photo. L’an dernier, ils étaient à réparer et à bichonner la
génératrice (sur la photo) et cette année ils se préparaient à rendre
fonctionnelles ces machines-outils. Toutes ces choses sont d’origine.
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