CAP-DES-ROSIERS

8 juillet 2020

La pluie s’est invitée pendant la nuit, elle reste menaçante ce matin. Nous optons tout de même pour nous rendre au centre d’accueil d’où part le très beau sentier du Banc. 

Le centre est fermé cause de Covid. On nous souhaite la bienvenue dans les trois langues dont celle des indiens de la région.

Juste à côté du centre d’accueil, il y a ce beau petit port de pêche. Sur la côte, on y pratique la pêche aux homards.

Un jour, Champlain a vu à cet endroit d’innombrable rosiers sauvages d’où le nom de Cap-Des-Rosiers.




Nous voici sur le point de faire le sentier du Banc. Il nous mène au phare du Cap. Un petit 4 km aller-retour.

Ils installations sont récentes, de bon goût et de qualité.

Sur le parcours, un hommage aux personnes disparues en 1847 lors du naufrage du Carricks. Pour la petite histoire, du phare on 

pouvait surveiller l’entrée des Uboat allemands lors de la dernière grande guerre. Ceux-ci s’attaquaient aux navires qui 

approvisionnaient, entre autres en armes, l’Angleterre.






Ici aussi le Covid s’impose. Pas question de faire l’ascension du phare. Il reste fermé au public. 



  Nous terminerons la journée, après une pluie abondante en début d’après-midi, par une promenade sur la grève du camping. 

 Le Cap se dresse encore dans le brouillard. Au premier plan de la photo, des cormorans volent en escadrille tout comme le font les pélicans.