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mercredi 5 avril 2017

MOAB



4 avril




La nuit a été froide et venteuse. Au matin vu que la journée s’annonce plus ou moins belle, nous optons TOUS pour nous diriger immédiatement sur Moab.















Nous reprenons la route 24, un bout du Hwy 70 et enfin la 191 pour nous y rendre.

















En partant, le paysage ne cesse de nous impressionner. 









Particulièrement ce long soulèvement de la croûte terrestre. Nous avons presque l’impression que c’est récent.







Le trajet s’est fait avec les deux mains sur le volant, un gros vent nous a tenu compagnie .














Nous sommes une journée en avance. Nous nous présentons à l’accueil où nous avons réservé uniquement à partir de demain. 

















Pas de place…  Sorry ! Mais, ces gens sympas réfléchissent un petit moment et trouvent une solution. 
















On nous amène un peu plus loin là où sont les écuries et paddocks d’entraînement. 














On nous trouve chacun une place et même l’électricité. Pour notre part, nous sommes branchés sur la maison des voisins qui sont d’ailleurs très aimables et pleins de gentillesse.

















Bref, un endroit bien spécial que nous adorons...













Nous voilà installés et prêts à faire le tour du proprio… Évidemment, on se régale, il y a des chevaux et quelques mules.



















Moab… encore un endroit fondé par les mormons qui lui donnèrent ce nom biblique. En 1855 malgré la résistance des indiens. 












Une fois de plus, on ne peut que se surprendre en pensant qu’à cette époque, plus qu’aujourd’hui, le site choisi était au cœur de ces vastes étendues sauvages et désertiques.  














Même les hors-la-loi  s’y réfugiaient. Ensuite dans les années 50 ce fut le boum de l’uranium. Après, ce fut le boum des touristes. 






D’ailleurs, la ville en est pleine…et nous y sommes…  La ville demeure la porte d’entrée pour découvrir ce qu’on appelle les déserts rouges ainsi que les deux parcs très connus Arches et Canyonland.
 La place est animée, il y a de la testostérone en ville.  On y sent comme un vent de grande liberté.


Au-dessus de nous, veillent les La Sal Mountains qui culminent à plus de 3800 mètres. D’ailleurs, c’est avec elles que nous terminons cette journée.



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