Nous quittons Lévis pour nous diriger sur CAUSAPCAL dans la vallée de La Matapédia. La route nous réserve quelques belles petites surprises en commençant par la proximité du fleuve. Il y a, bien sûr la campagne, belle, calme, propre et par endroits, prospère.
Tout est en place pour nous accueillir tout en prévenant la propagation du « virus » . Super, on peut visiter.
Voici quelques images que j’ai photographiées sur une vidéo . Elles racontent comment ce bateau a coulé en quelques minutes
Dommage, on ne peut visiter le sous-marin. Vous devinez... c’est la faute à la Covid...
Nous avons eu toute une surprise et toute une frousse... Sur la route, la vitre côté conducteur est ouverte de moitié pour permettre à Diane de prendre une photo. La route est un peu sautillante au point que la vitre se décroche et s’enfonce dans la porte. Nous sommes à quelques km d’Amqui. Une chance, c’est la dernière grosse ville avant un bon bout de route... Nous avons dû faire 5 garages avant qu’un garagiste n’accepte d’y donner un coup d’œil. Une pièce est brisée ...mais on a pu fixer la vitre pour qu’elle reste fermée. Heureusement !!!
Le camping... Tranquillité, propreté, gentillesse des propriétaires...Une belle place pour faire une halte. Piscine et Wifi offerts gratuitement...
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Tout doucement nous nous rapprochons de Pointe-au-Père où nous visiterons le musée de l’Empress of Ireland.
Tout est en place pour nous accueillir tout en prévenant la propagation du « virus » . Super, on peut visiter.
Voici quelques images que j’ai photographiées sur une vidéo . Elles racontent comment ce bateau a coulé en quelques minutes
entraînant la noyade de plus d’un millier de personnes.
Le musée présente quelques artéfacts et bien sûr l’histoire du naufrage. En 1914, quelques semaines avant le début de la Grande Guerre, un charbonnier heurte par temps de brouillard le paquebot. Celui-ci coule en seulement quelques minutes. C’est bientôt la guerre. Le naufrage tombe rapidement dans l’oubli. Il n’aura pas le rebondissement du Titanic. À son bord, une grosse cargaison de lingots d’argent. On parle de millions $$$.
Le musée présente quelques artéfacts et bien sûr l’histoire du naufrage. En 1914, quelques semaines avant le début de la Grande Guerre, un charbonnier heurte par temps de brouillard le paquebot. Celui-ci coule en seulement quelques minutes. C’est bientôt la guerre. Le naufrage tombe rapidement dans l’oubli. Il n’aura pas le rebondissement du Titanic. À son bord, une grosse cargaison de lingots d’argent. On parle de millions $$$.
Dommage, on ne peut visiter le sous-marin. Vous devinez... c’est la faute à la Covid...
Nous avons eu toute une surprise et toute une frousse... Sur la route, la vitre côté conducteur est ouverte de moitié pour permettre à Diane de prendre une photo. La route est un peu sautillante au point que la vitre se décroche et s’enfonce dans la porte. Nous sommes à quelques km d’Amqui. Une chance, c’est la dernière grosse ville avant un bon bout de route... Nous avons dû faire 5 garages avant qu’un garagiste n’accepte d’y donner un coup d’œil. Une pièce est brisée ...mais on a pu fixer la vitre pour qu’elle reste fermée. Heureusement !!!
Le camping... Tranquillité, propreté, gentillesse des propriétaires...Une belle place pour faire une halte. Piscine et Wifi offerts gratuitement...
Wow, c'est beau! Bon voyage pour la suite!
RépondreSupprimerContente de vous retrouver! Tellement une triste histoire l'Empress of Ireland mais en effet, tellement bien racontée! Bonne route!
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